Face aux risques psycho-sociaux, l’UNSA a demandé l’organisation d’une réunion de crise.
L’UNSA a été destinataire d’un courrier anonyme dénonçant une situation de souffrance au travail et a pu lire un certain nombre de choses dans la presse en lien avec ce courrier.
Plutôt que de réagir sous le coup de l’émotion ou de l’ignorer parce qu’anonyme, l’UNSA a choisi la voie de l’équilibre et de la responsabilité. Face aux risques psycho-sociaux, elle a demandé la convocation d’une réunion de crise incluant l’ensemble des parties pouvant agir sur ce dossier.
Depuis les débuts de la CeA et la première rencontre du président Bierry avec les partenaires sociaux jusqu’au dernier rendez-vous avec lui, le 5 janvier dernier, l’UNSA n’a eu de cesse d’alerter l’Exécutif et l’administration sur le mal-être généralisé au sein des services et sur l’image dégradée de la CeA qui en résulte.
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