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Assistantes et assistants familiaux : des avancées dans le cadre de la convergence

Près de 3 ans après sa création, la CeA converge enfin sur les dispositions de défraiement des déplacement les plus favorables aux assistantes et assistants familiaux.


Le sujet des frais de déplacement des assistantes et assistants familiaux a été débattu en comité social territorial du 27 novembre dernier, en même temps que les critères de fixation des taux de sujétions pour l’accueil d’enfants aux profils complexes.


Près de 3 ans après sa création, la CeA converge enfin, courant 2024, sur les dispositions les plus favorables aux assistantes et assistants familiaux.

Jusque-là, des différences subsistaient entre professionnel·les du Bas-Rhin et du Haut-Rhin.


Courant 2024, devraient donc être défrayés - pour tous et toutes - les trajets vers les crèches, les points de ramassage ou l’établissement s’il n’est pas desservi par des transports en commun et les centres aérés. Un défraiement qui s’appliquera aussi lorsque les trajets seront effectués par un·e membre de la famille lorsque l’assistant·e familial·e est empêché·de le faire.


Bien sûr les conditions mériteront d’être encore améliorées et renforcées, mais le dialogue social se poursuivra.


Pour l’UNSA, il n’est pas envisageable de voter contre des mesures qui vont en faveur des agent·es.

Pour autant, un vote favorable n’est jamais un blanc-seing et l’équipe restera attentive à la poursuite des discussions et combatives pour de nouvelles avancées.


L’UNSA a d’ailleurs fermement rappelé ses demandes :

- rétablissement des parts des 2e et 3e enfant telles qu’en 2022, pour une rémunération et une retraite dignes

- bénéfice de l’équivalent Ségur appliqué sur la part du 1er enfant (189 euros nets/mois, avec effet rétroactif au 1er janvier 2023)

- bénéfice des titres-restaurant, parce que continuer à les en exclure est discriminant et fait naître le sentiment d'être de sous-agent·es.

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