À l’approche du 8 mars 2022, l’UNSA CeA adresse au Président un nouveau courrier pour rappeler que l’égalité des droits n’existe toujours pas à la CeA.
Plus de 4 000 femmes sont employées à la CeA, soit près de 70% des effectifs.
En 2021, l’UNSA transmettait au Président
12 propositions pour concourir à une réelle égalité des droits,
complétées par 50 propositions dans le cadre des négociations du plan d’actions pour l’égalité femmes-hommes de la CeA.
Une partie de ses demandes a été entendue par l’administration : mise en œuvre de l’expérimentation du temps partiel annualisé, réduction du nombre de jours de RTT à gestion collective, communication sur la thématique de l’égalité femmes-hommes, etc.
À l’approche du 8 mars 2022, l’UNSA CeA adresse au Président un nouveau courrier pour rappeler que l’égalité des droits n’existe toujours pas à la CeA :
inégalités salariales (rémunérations inférieures de 6 à 18%, primes inférieures 7 à 35%),
inégalités face aux promotions internes (35% de femmes seulement),
inégalités dans les fonctions d’encadrement,
inégalités dans l’emploi (les femmes occupent 82% des emplois non permanents).
L’UNSA CeA demande donc que soit lancée sans tarder une étude approfondie sur les causes des inégalités salariales entre femmes et hommes au sein de la CeA suivi d’un plan visant à les corriger au plus vite. L’UNSA réitère certaines propositions ou en présente de nouvelles.
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